Doyen des groupes rocks français, bâti pour le live, bientôt 40 printemps et toujours bouillant comme le pire des volcans. Aujourd’hui, ce groupe hors norme et donc indémodable nous offre un déferlement musical, un show rock, fonky, sexy, déluré et débridé, une musique précise et organique dans un live percutant et surréaliste, systémati-quement célébré par le public. Un souvenir indélébile qui touche le spectateur là où rien ne s’efface.

Les Washington Dead Cats (1984), 35 années d’existence. Un groupe de rock’n’roll mythique et infatigable en marge de toute tendance. 

Né de la vague du rock alternatif en France, il est l’un des quatre premiers groupes du label Bondage Records avec les Beruriers Noirs, Ludwig Von 88 et Nuclear Device. Mais le seul à chanter en anglais et à puiser ses influences dans le rockabilly cryptique, le garage et le blues obscur. 

Depuis 1984, les Washington Dead Cats totalisent 1500 concerts en Europe, de nombreux festivals, de nombreux disques, clips et une présence scénique incontestable. 

Investigateurs du Crashmusette, ils s’invitent pour la présentation de leur EP « Mikro Fasoli ». 

Certains les catégorisent dans l’alternatif, d’autres dans la chanson française, eux parlent d’aventure humaine au service du rock. Oui, mais attention, pas le rock désengagé de sa définition, celui qui sue de la plume, qui respire une musicalité rageuse, le tout, accompagné d’un chant écorché. Leur musique est à l’écoute de leur existence, engagée, dérangée, méthodique et mélodique, avec un soupçon d’ironie. 

Inspirés autant par Zeppelin et Queens Of The Stone Age que par Kendrick Lamar et Eminem, Kapellmeister redonne un souffle de jeunesse à la vieille dame Rock’n Roll avec un son brut et résolument moderne. Non le rock n’est pas mort. Une batterie avec de très grosses cymbales, deux basses une guitare. La voix de Greg s’occupe du reste. Depuis une grosse vingtaine de morceaux effi caces, et les dents qui poussent pour rayer ton parquet. Youpi

3 hurluberlus amoureux de la musique Blues à tendance Rock, aux intonations Folk et inflexions Pop, des chansons qui prennent l’accent british, irish, US ou frenchy. 

Quoiqu’il en soit, Fred, le chanteur guitariste du groupe, viendra faire avec ses camarades, l’ouverture du bal et les changements de plateau du Crash. Un grand honneur pour nous de le recevoir dans une cour qu’il connait bien…voir très bien !

Alors que certains montent à l’assaut la rage au ventre et le poing levé, Fabrice, Laurent, Olaf, Karim et Bruno se mettent à composer, dès 1983, une poignée de morceaux résolument ancrés dans une dérision au quatrième degré (du nirvana bien entendu) sans pour autant se cacher d’une critique acide de la société française. 

40 ans qu’ils agitent la sphère de l’alterno dont ils sont devenu la référence avec les «Bérurier Noir» dans une permanente recherche du flagrant délire, leurs apparitions scéniques témoignent de performances qui resteront bordéliques et légendaires pour les générations futures. 

Un mélange artistique hybride et percutant qui donna naissance à la Pungle – contraction de punk-rock et jungle – à l’aube des années 2000. Près de 20 ans et 700 concerts endiablés dans trente pays différents, le groupe se retrouve avec une joie féroce et présente son nouvel album VISIBLE(S), fruit de deux ans de maturation féconde. Un retour aux sources pour La Phaze, qui se concentre désormais sur la dimension électro de sa bass-music, après un passage plus radical vers le punk-rock. 

LOS TRES PUNTO est un groupe existant depuis 1995. C’est dire si cette formule Ska pour les puristes ne date pas d’hier. Leurs influences se situent à un carrefour d’artistes tels que les Scorflows, Mr Review, Dr Ring Ding,la Mano Negra, les Béruriers Noirs… Des textes pour rire, pleurer, se battre, mais aussi pour faire la fête, ils sont chantés en français, espagnole, italien et anglais. Un groupe qui a déjà prouvé sa maturité au travers de ses différentes prestations et de ses albums.

Bob’s Not Dead évoque sur un ton unique sa vie, son entourage, ses influences… 

Le chanteur fait souvent preuve d’un regard acéré, critique et lucide, agrémenté d’un humour vache qui a du mal à dissimuler un coeur gros comme ça. Il est aussi d’accord pour dire que si la vie ne vaut rien, rien ne vaut la vie. Alors, il y a de la tendresse glissée dans ces tranches de vie découpées au couteau et ces portraits saisis au coin de la rue, d’un trait de crayon façon « Cabu ».

ENZIL (petite scène) envoie une techno puissante parfois mélancolique parfois guerrière. Inspiré par différents genres musicaux comme le Métal, le Post-Rock ou l’IDM, son univers transporte entre songes et brutalité. 

Auteur, compositeur, producteur, réalisateur de plusieurs court-métrage et clips, Enzil alias William est un touche-à-tout, un meneur de projet artistique dont le label «Tolmi Edition» a rapidement repéré toute l’étendu de ses capacités. 

Attention, jeune artiste à suivre de très très près…